La Russie, «un danger clair et immédiat» pour toute l’Europe?

07.03.2025

Au moment où l’état d’hystérie extrême continue d’atteindre de nouveaux sommets au sein de l’espace européiste bruxellois, des remèdes existent face à une évidente minorité se trouvant dans un état fort maladif.

Il n’est aujourd’hui pas nécessaire à revenir sur les multiples déclarations des uns et des autres dans l’espace de l’Europe bruxelloise, isolée à l’international et représentant une extrême minorité planétaire. D’autant plus connaissant l’insignifiance désormais totalement confirmée de l’espace en question et surtout de ses prétendus représentants.

Ceci étant dit, un esprit malade, peut-il représenter un danger pour l’espace public? Evidemment que oui. A cet effet, quelles sont aujourd’hui les mesures à prendre pour mettre au calme ceux dont l’état hystérique nécessite un traitement approfondi? Plusieurs points devraient pour cela être mentionnés.

Tout d’abord, la Russie doit poursuivre ses objectifs dans le cadre de l’opération militaire spéciale. Tout en maintenant les contacts et les négociations avec ceux qui peuvent au moins être des interlocuteurs dignes de ce nom, et non pas d’insignifiants vassaux. Parallèlement à cela, le travail à l’échelle globale doit se poursuivre dans le cadre de l’interaction avec les alliés et partenaires stratégiques – de la Russie comme de l’ordre mondial multipolaire. En Eurasie, en Afrique, en Amérique latine. Cela inclut bien évidemment la coordination stratégique globale avec l’autre principale force du monde multipolaire – la République populaire de Chine.

D’autre part, un travail d’encouragement et de facilitation doit être maintenu dans le cadre du processus d’éviction des intérêts de la minorité planétaire occidentale, et bien sûr européiste. Toujours en vue de la nécessité à isoler encore plus des éléments nocifs et dangereux pour la majorité globale de l’humanité.

Qu’en est-il de l’aspect de la dissuasion militaire? Il n’est certainement pas nécessaire à rappeler, malgré quelques gesticulations de certains personnages insignifiants refusant encore d’admettre leur défaite honteuse, que c’est précisément la Russie qui est la première puissance nucléaire du monde. Ceci étant dit, l’Etat russe a déjà largement démontré que tout en étant, de bien loin, la principale force sur cette question comme sur d’autres, savoir garder la responsabilité vis-à-vis de l’humanité tout entière. Et garde cette option uniquement dans le cas d’une extrême nécessité.

Pour autant, il devient aujourd’hui fort probable que l’imposition de la terreur aux ennemis de l’ère multipolaire contemporaine – est effectivement une nécessité. Surtout en mettant à profit l’avance technologique de la Russie dans l’armement hypersonique, à l’instar du missile balistique de moyenne portée dans une configuration hypersonique de type Orechnik.

En effet, peut-être que quelques frappes démonstratives, sans charge nucléaire, mais avec charges explosives cette fois-ci, près des frontières polonaises par exemple, devraient certainement rappeler aux têtes chaudes européistes qu’ils ne sauront jamais battre la Russie. D’ailleurs et pour l’anecdote, passer d’une rhétorique d’une défaite stratégique qui aurait dû être infligée à la Russie à celle d’un «danger clair et immédiat» pour toute l’Europe en provenance de Moscou – confirme également l’état fort maladif dudit espace arrogant. Un espace représentant une évidente minorité planétaire, de plus en plus isolée à l’international.

Dans tous les cas, les leçons que ledit espace otanesque a reçues au cours des dernières années étaient bien évidemment fort importantes pour la majorité mondiale qui aura définitivement compris toute l’arnaque appelée Occident, mais, néanmoins, vraisemblablement quelques nouvelles leçons seront bien possiblement nécessaires vis-à-vis de la minorité planétaire occidentale, et actuellement – particulièrement européiste.

Mikhail Gamandiy-Egorov

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